Bizness

Renaissance de l’argentique
L’âme de la photographie refuse de s’éteindre !

© Pexels

Alors que nous pensions que le film négatif était mort, enfoui sous des couches de pixels et d’algorithmes, il revient à la vie. Dans un monde où le numérique domine, où la perfection se fabrique en quelques millisecondes, la nature imparfaite, tangible et délibérée du support argentique trouve son chemin entre les mains d’une nouvelle génération.

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Correspondance de Tokyo

Guerre et Paix
Les agences témoignent de 80 ans d’histoire au Japon

Photographie Kyoichi Sawad / UPI

L’exposition guerre et Paix au Forum international de Tokyo qui s’est tenue du 11  au 27 janvier 2025 a retracé  des instants historiques de la guerre du Pacifique depuis  l’incident de Mukden jusqu’à la remise du prix Nobel de la Paix à l’association Hidankyo des irradiés des bombes atomiques et à hydrogène. Voir la suite

Editorial

« The Stringer »
L’incompréhensible faute de VII

Trang Bang, Sud Vietnam, 8 juin 1972. © Nick Ut/AP

Quelle mouche a piqué Gary Knight, fondateur de l’agence photo VII, Président de la Fondation VII de produire « The stringer », ce film qui accuse le photographe Nick Ut d’avoir été faussement qualifié d’auteur de « The napalm girl » à l’initiative de Horst Faas, directeur du bureau de Saigon d’Associated Press à l’époque ?

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Cinéma

« Napalm girl », la contreverse
Démêler le vrai du faux

Nick Ut avec la fameuse photo, 28/04/2016. © David Hume Kennerly/LBJ Library

Coup de tonnerre dans le Landerneau du photojournalisme ! La fameuse photo « The Terror of war » plus connu sous le nom de« Napalm girl » réalisée le 8 juin 1972 et qui montre une petite fille vietnamienne brulée au napalm courant sur une route, ne serait pas l’oeuvre du photographe d’Associated Press Nick Ut à qui elle est attribuée depuis 53 ans. Cette accusation est portée par « The Stringer » (« Le Pigiste »), un documentaire produit par la Fondation VII, qui vient d’être présenté au festival Sundance ces jours derniers.

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Exposition

Gérard Uféras
De l’étoffe des rêves à celle des grands de la photographie

Gérad Uferas à la Villa Tamaris – Photo Angèle Faliu

Ce vendredi 31 janvier 2024, s’ouvre à la Villa Tamaris de La Seyne sur mer (Var), une grande restrospective de 40 ans de travail du photographe. A Paris, la galerie Polka expose « Fashion – seen unseen ». A ces occasions et, avant de rendre compte de sa rétrospective varoise, nous republions le portrait de Gérard Uféras par son ami Alain Mingam.

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