L'oeil de l'info

Menu

Skip to content
  • RUBRIQUE
    • Editorial
    • Evènement
    • Débat
    • Bizness
      • La vie des agences
        • Agences de jadis
        • Agences en activité
        • Agences étrangères
    • Justice
    • Les gens
      • Entretien
      • Hommage
      • Lauriers
    • Reportage
    • Exposition
    • Patrimoine
    • Arts Visuels
    • De l’argentique à l’IA
    • En librairie
    • Revue de presse
  • CHRONIQUE
    • Retour d’archives
    • 20 ans de photographie
    • De la route à la rue d’Alger
    • Correspondance de Budapest
    • Europe n°1, l’histoire
    • Journey Man
    • L’oeil écoute
    • Correspondance de Tokyo
    • Mes année 70
  • HISTOIRE
    • Histoire humaine
    • Histoire d’agences
    • Histoire de presse
  • PODCAST
    • Podcasst +15′
    • Podcast de – 15′
  • NOTRE EQUIPE
    • Soutenir L’oeil de l’info
    • ‘DREDI, notre lettre du vendredi
    • Nous écrire
    • Informations légales

Cachot de Runda, province de Gitarama, Rwanda – © Jean-Manuel Simoes

Le jeudi 11 octobre 2001 une dizaine de dŽtenus du cachot de Runda, province de Gitarama et de la prison centrale de Gitarama, sont prŽsentŽs ˆ la population sur la commune de Gihara, lieux de leurs accusations de crimes de gŽnocide au cours d’une sŽance test de gacaca supervisŽe par le procureur gŽnŽral de Gitarama Jean-Marie Vianney Mbarushimana. La gacaca -en keny rwandais, littŽralement justice sur le gazon- est la faon traditionnelle de rendre justice dans les villages rwandais. Les diffŽrentes parties sont placŽes face ˆ face en place publique, l’ensemble des habitants peuvent s’exprimer pour accuser, dŽfendre l’une ou l’autre partie, la dŽcision est rendue par l’ensemble sous le contr™le du conseil des sages du village. La gacaca est le processus de justice retenu pour solutionner la problŽmatique de la justice des gŽnocidaires rwandais et celle du surpeuplement carcŽral. Ce processus est contestŽ par les institutions internationales en raison de l’absence d’avovat, mais ces mmes institutions reconnaissent que sans cela il faudrait plus de cent ans pour juger l’ensembles des dŽtenus.
Ceux qui sont prŽsentŽs aujourd’huyi sont ceux qui ont un dossier dŽjˆ constituŽ, ˆ mme d’trejugs sur la commune de leurs accusations. *** Local Caption *** Photographie protŽgŽe par le droit d’auteur. Aucune autorisation permise, retouche ou manipulation permise sans autorisation expresse du photographe.
© Jean-Manuel Simoes
Paris – France
http://www.jmsimoes.fr
contact.simoes@gmail.com

Post navigation

← Précédente
Suivante →