L'oeil de l'info

Menu

Skip to content
  • RUBRIQUE
    • Editorial
    • Evènement
    • Débat
    • Bizness
      • La vie des agences
        • Agences de jadis
        • Agences en activité
        • Agences étrangères
    • Justice
    • Les gens
      • Entretien
      • Hommage
      • Lauriers
    • Reportage
    • Exposition
    • Patrimoine
    • Arts Visuels
    • De l’argentique à l’IA
    • En librairie
    • Revue de presse
  • CHRONIQUE
    • Retour d’archives
    • 20 ans de photographie
    • De la route à la rue d’Alger
    • Correspondance de Budapest
    • Europe n°1, l’histoire
    • Journey Man
    • L’oeil écoute
    • Correspondance de Tokyo
    • Mes année 70
  • HISTOIRE
    • Histoire humaine
    • Histoire d’agences
    • Histoire de presse
  • PODCAST
    • Podcasst +15′
    • Podcast de – 15′
  • NOTRE EQUIPE
    • Soutenir L’oeil de l’info
    • ‘DREDI, notre lettre du vendredi
    • Nous écrire
    • Informations légales

Maryam Firuzi
Souvenirs épars d’un avenir déformé

Manijeh et Parisa sont sœurs et travaillent toujours ensemble sur leurs peintures dans leur atelier. Elles ont peint ensemble sur le mur d’un café abandonné dans la banlieue de Téhéran. Elles ont toutes deux consacré leur vie à l’art et à la peinture, et passent environ 12 heures par jour dans leur atelier. Leur style s’inspire principalement de la peinture traditionnelle iranienne, qu’elles tentent de moderniser. Elles ne pensent pas qu’il soit impossible qu’elles émigrent dans les années à venir, car elles estiment qu’à terme, tous les Iraniens seront contraints d’émigrer en raison de la sécheresse.

Post navigation

← Précédente