L'oeil de l'info

Menu

Skip to content
  • FRONTS
    • Bizness
    • Reportage
    • Exposition
    • De l’argentique à l’IA
    • Edition
    • Débats
    • Festival
    • Justice
    • 7 days on print and web
  • CHRONIQUES
    • Editorial
    • De la route à la rue d’Alger
      par Rchard Walter
    • Retour d’archives
      par Pierre Abramovici
    • L’histoire d’Europe n°1
      par Luc Bernard
    • Mes année 70
      par Michel Puech
    • Journey Man
      par Thomas Haley
    • 20 ans de photographie
      par Corentin Fohlen
    • Correspondance de Tokyo
      par Pierre Boutier
    • Correspondance de Budapest
      par Daniel Psenny
    • L’oeil écoute
      de Maurice Achard
  • LES GENS
    • Tous les gens cités
    • Entretien
    • Hommage
    • Lauriers
    • Vu par
  • AGENCES
    • Toutes les agences citées
      • Agences Françaises en activité
      • Agences de jadis
        • Agences étrangères

Maryam Firuzi
Souvenirs épars d’un avenir déformé

Najmeh a peint sur le mur d’un garage abandonné dans le centre de Téhéran. Ce garage est abandonné depuis la révolution et un gardien, avec sa famille, vit ici pour empêcher les toxicomanes de pénétrer dans le garage. Le gardien collectionne et élève des pigeons pour se distraire, car il n’a pas beaucoup de travail dans la journée. Najmeh a traversé une période difficile ces deux dernières années en raison de problèmes familiaux, et la peinture a joué un rôle salvateur pour elle. Peintre inspirante de la scène artistique iranienne, elle pense que nous créons de l’art pour nous sauver, car notre propre salut pourrait conduire au salut du monde.

Post navigation

← Précédente
Suivante →