Luc, Je n’ai pas le cœur à pleurer, mais à t’écrire. A écrire, comme tu me l’as appris, il y a plus de trente ans, à cette méditerranéenne terrasse de café ou nous ne prenions des bains de lumière, pour traduire en mots les émotions de nos nuits américaines.
Dernière révision le 12 mars 2024 à 12;16 par Rédaction d’a-l-oeil.info
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