Hommage

Luc Bernard
A l’heure du bouclage

Luc Bernard Chiche – Photo Michel Puech

Luc, Je n’ai pas le cœur à pleurer, mais à t’écrire. A écrire, comme tu me l’as appris, il y a plus de trente ans,  à cette méditerranéenne terrasse de café ou nous ne prenions des bains de lumière, pour traduire en mots les émotions de nos nuits américaines.

Ce contenu est réservé aux abonnés.
Se connecter S’abonner

Dernière révision le 12 mars 2024 à 12;16 par Rédaction d’a-l-oeil.info