
Yan est arrivé chez Sipa dans les années 80. Il a tout de suite su s’intégrer et se faire aimer par ses pairs. Très vite, il est un enfant de Sipa sous la protection de Gökşin Sipahioğlu. Voir la suite
Yan est arrivé chez Sipa dans les années 80. Il a tout de suite su s’intégrer et se faire aimer par ses pairs. Très vite, il est un enfant de Sipa sous la protection de Gökşin Sipahioğlu. Voir la suite
Toujours anticonformiste dans l’âme pour agacer parfois avec raison et jubilation, truculent, jovial, généreux, passionné, comme tu l’as toujours été, tu ne peux, Yan, que nous laisser le devoir de combler le vide sans fond que tu laisses dans le métier par l’estime et l’affection que tu mérites tant. Au fait, toi, le judicieux provocateur zélé, si tu croises le Dieu de ton choix, fais-nous un close-up d’enfer, non pardon un scoop divin de plus ! Salut à toi, l’ami, il y a une queue du diable pour te faire ultimes embrassades.
En 2018, Yan Morvan décide de se lancer, avec Eric Bouvet, dans un projet assez fou : sillonner la France pour faire les portraits à la chambre 20×25 de Françaises et Français dans leur diversité, à la ville et à la campagne, du paysan à la femme de ménage, de l’ado au vieillard, de la Bretagne à la Corse. Deux ans et plus de 300 portraits plus tard, je rencontre Yan chez lui afin qu’il me parle de ce travail.
Quand j’étais reporter photographe, il m’est arrivé de le rencontrer, certes peu de fois, au Liban dans les années 80 et ensuite bien plus tard quand je fus chef du service photo de VSD. Voir la suite
Alors que Beyrouth s’embrase à nouveau, il y a quarante-ans, cette guerre fut un moment clé dans l’histoire de Yan Morvan. Jean-Louis Vinet qui a couvert ce conflit pour France Inter, raconte ici son arrivée au Liban. Ambiance. Voir la suite
Leur rencontre date de 2016 alors que Yan cherche un logement pendant le festival Visa pour l’Image à Perpignan et ce sera le début d’une belle amitié. Quelques années plus tard, Benjamin apporte son aide à Yan dans le cadre du projet qu’il a entrepris et qui lui fait sillonner la France pour réaliser de nombreux portraits de Françaises et de Français de toutes conditions.
Yan Morvan est décédé : un choc, un de plus. Yan était un personnage qui ne laissait pas indifférent, il ne faisait pas dans la demie-mesure. On l’aimait ou pas, il t’aimait ou pas… Il était quelqu’un d’à part. Voir la suite
J’ai rencontré Yan Morvan, pour la première fois, à Fotolib, cet incubateur gauchiste de photographes en devenir… Beaucoup d’entre nous, d’ailleurs, ont fait autre chose, d’autres formes de journalisme, de l’enseignement, de la réalisation télévisuelle, de l’écriture etc. Pas lui, il voulait être photographe. Voir la suite
Pascal Kober, photographe, journaliste, renifleur du temps, membre de la rédaction de L’Œil de l’info, a rencontré Yan, il y a plus de trente ans pour le magazine Grands Reportages. Il republie ici deux extraits de cet entretien. Voir la suite
En mai 2013 j’ai accompagné Yan pour qu’il puisse photographier les champs de bataille de Libye (Misrata, Bir Hakeim, Tobrouk, Tripoli…) dans le cadre de son grand projet de livre. Voir la suite