Cinquante-deux journalistes spécialisés dans le tourisme, rédacteurs et photographes à part égale, ont formé vingt-six duos pour présenter dans un livre leurs regards croisés sur des destinations dans le monde, vingt-six dialogues texte images comme autant d’invitations à parcourir le monde.
© Collection Martin Parr / Magnum Photos
Il photographiait les vacances trop formatées, les corps trop bronzés, les nourritures trop grasses, les couleurs trop vives. Martin Parr est mort, laissant derrière lui une œuvre parfois mal comprise. Son travail, accusé d’être cynique par ceux qui refusaient de se reconnaître dans le miroir de ses images, était d’abord un geste d’attention assidue envers l’ordinaire. En refusant de sublimer le réel, le photographe britannique a imposé un regard particulier: aimer le monde tel qu’il se montre, sans l’absoudre.
Poilley, 1973. © Madeleine de Sinéty
Grande rétrospective consacrée à Madeleine de Sinéty au Château de Tours, une photographe dont le travail n’a été redécouvert que récemment et qui est marqué par un hommage touchant à la vie ordinaire.
© Universitat Politècnica de València
L’université de Valence est chargée d’un projet d’envergure visant à nettoyer et restaurer les photos que des familles ont perdues lors des tragiques inondations qui ont dévasté la région le 29 octobre 2024. Des étudiants de l’université des beaux-arts restaurent les images endommagées par la boue lors des inondations.
© Youry Bilak d’après « La Cène » de Léonard de Vinci
L’exposition « Scènes de front » du photographe franco-ukrainien Youry Bilak, installée au Mémorial 14-18 de Notre-Dame-de-Lorette, offre un regard différent sur les réalités du conflit qui ravage l’Ukraine depuis 2014 pat des portraits de soldats mis en scène comme des grands classique de la peinture. Voir la suite
© collectif le commun des mortels
Longtemps cette famille de la photographie était appelée « photo d’amateur » le mot prenant le sens un peu méprisant de photographie sans qualité, non conforme au règles de l’art édicté par ceux qui, du haut de leur piédestal, étaient supposés savoir de quoi ils parlaient. C’était avant qu’advienne le « vernaculaire » dont le nom rime avec « populaire » mais parfois un peu trop avec « monétaire ». Seuls quelques amateurs de l’amateur s’y intéressait et constituaient de précieuses collections au gré de leur chinages, profitant de la faible valeur pécuniaire accordée à l’objet de leur recherche.
