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Amputé de 2’30, le film War reporter sera projeté au festival Etonnants Voyageurs de Saint-Malo

Le réalisateur Amine Boukhris au Palais de Justice (c) Michel Puech
Le réalisateur Amine Boukhris au Palais de Justice (c) Michel Puech

A la demande de la compagne du photographe Lucas Dolega, tué en Tunisie en 2011, le TGI de Paris à jugé ce vendredi 6 juin 2014, le litige qui l’opposait à Amine Boukhris, réalisateur du film War reporter et au festival Étonnants Voyageurs qui l’a programmé. Moyennant la suppression de trois séquences, le festival assure que le film pourra être projeté à Saint-Malo dimanche 8 juin 2014 à 17 h 45 dans le cadre d’un après-midi spécial autour des journalistes de guerre.

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War reporter, au cœur du journalisme

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Article publié le 04/02/14

Présenté le 12 février 2014 à Tunis, en avant-première, aux Rencontres des réalisateurs de films tunisiens,  War Reporter d’Amine Boukhris est un documentaire exceptionnel sur la « couverture » des « Printemps arabes » par les photojournalistes et cameramen.  Un document historique que nous avons vu en avant-première.

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[CP] Avant-premières du film « Au bord du monde »

(c) Sylvain Leser
(c) Sylvain Leser

Prochaines avant-premières du film  » Au bord du monde » dans le cadre des reprises de la programmation de l ‘Acid au festival de Cannes : 21 septembre, 18h45 : TOULOUSE (Cinéma Le Cratère), 26 septembre, 20h30 : Malakoff (Cinéma Marcel Pagnol), 28 septembre, 18h30 : Paris (Nouveau Latina), 6  octobre, 17h30 : Lyon (Comoedia), 18 octobre, 20h30: La Courneuve (Cinéma L’Etoile).

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Guy Gilles et le temps désaccordé

Guy Gilles
www.guygilles.com

Guy Gilles et le temps désaccordé publié 02 Juillet 2008 par Michel Puech in Club Mediapart

Contemporain de Truffaut, de Godard, Guy Gilles était un cinéaste poète passionné, un ange filant, comme on dit des étoiles, hors du temps et surtout de son temps.A la fin des années 60 et dans les années 70 où tout se devait d’être politique, il filmait le temps qui passe, la tendresse, l’ambiguïté et la nostalgie d’un pays perdu : l’Algérie. C’est dire, comme l’indique avec clarté le titre du film que lui consacre Gaël Lépingle, qu’il était « désaccordé ». Et pourtant, cinquante ans après, les films de Guy Gilles continuent à émouvoir un jeune public de fans qui se réunit au gré de trop rares projections.

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