Trois coups de feu ont annulé tous ses rendez-vous, mais il faudrait qu’ils nous tuent tous, pour que nous oubliions Poveda, son sourire et sa quête de vérité.
Dernière révision le 29 mars 2024 à 7;44 par la rédaction
Les derniers articles par Michel Puech (tout voir)
- Il y a 50 ans au Portugal
Une presse ivre de liberté - 26 avril 2024 - Il y a 50 ans au Portugal
« Mon apéro avec Mario Soares »
Par Michel Giniès / Sipa press - 26 avril 2024 - Holmes-Lebel
Une histoire d’agence, une histoire de femmes - 19 avril 2024