
En fragilisant le droit d’auteur, nous érodons les mécanismes qui permettent de distinguer l’origine du faux. La protection de l’authenticité passe d’abord par le respect des droits. Voir la suite
En fragilisant le droit d’auteur, nous érodons les mécanismes qui permettent de distinguer l’origine du faux. La protection de l’authenticité passe d’abord par le respect des droits. Voir la suite
Un dicton populaire nous dit qu’une photo vaut mille mots. Mais quelle est la valeur de ces mots s’ils n’ont aucun sens ? Nous avons tous lu des articles ou des livres qui parlent beaucoup. Les mots, même en grand nombre, peuvent être faussement inutiles. Il en va de même pour les images. Voir la suite
En raison de l’actualité, j’ai eu envie de chroniquer mes aventures « papales » commencées à la fin des années 70, quand j’étais encore photographe, et jusqu’en 2000 comme documentariste à la télé. Bien que né sous Jean XXIII, et ayant vécu sous Paul VI, c’est vraiment à la mort soudaine (et rapide) de Jean-Paul Ier que j’ai commencé à m’intéresser à la papauté, l’Eglise et le Vatican.
Comme chaque année, le Wordl Press Photo a annoncé les résultats de son concours annuel de photographies de presse. L’image qui a été sacrée Photo de l’année est celle réalisée par Samar Abu Elouf qui représente Mahmoud Ajjour, un jeune palestinien de neuf ans amputé des deux bras suite à un bombardement israélien à Gaza.
Le 30 avril 1975, Saïgon tombe. La capitale du Sud-Vietnam s’effondre sous l’assaut de l’Armée populaire vietnamienne, mettant un terme à l’un des conflits les plus dévastateurs de la deuxième partie du XXe siècle. Ce jour-là, le monde découvre les visages de la défaite, du chaos, de la fin d’une époque. Des images nous sont restées grâce aux photographes demeurés sur place devenus les témoins de l’Histoire, armés de leurs seuls appareils photo.
Il y a cinquante ans, Hubert Van Es prit sa célèbre photo d’un hélicoptère sur un toit pendant que des Américains et des civils vietnamiens grimpaient désespérément à une échelle pour s’échapper de Saigon. Le lendemain, le 30 avril, après une semaine de combats intenses, les chars nord-vietnamiens entrèrent dans Saigon. Voir la suite
Avril 1975, les Khmers Rouges sont aux portes de Phnon Penh, Sylvain Julienne et son ami Sou Vitchi vont au front et en ramène deux enfants avant de devenir otages de l’ambassade de France. En 2019, sept mois avant sa mort, Sylvain Julienne a écrit un récit que Phally Julienne, sa fille adoptive, a confiée à Jack Burlot. Grâce à eux, nous publions « les bonnes feuilles » de ce qui devrait devenir un livre, si il se trouve un éditeur pour le publier. Voir la suite
Le 17 avril 1975 au matin, tout le monde le dit : ils arrivent ! Devant l’hôtel, des blindés et des chars américains AMI 13 stationnent toujours pour protéger la communauté regroupée au Phnom. Avec Vichith, on décide de grimper dans une vieille Volkswagen et on se précipite pour les prendre en photo, ces arrivants. Voir la suite
Sylvain Julienne et Jack Burlot sont deux photojournalistes, parfois concurent, mais essentiellement amis pour la vie. Grâce à Jack Burlot et à Phally Julienne, nous publions en exclusivité les « bonnes feuilles » d’un récit écrit par Sylvain Julienne sept mois avant sa mort. Nous avons demandé à Jack son témoignage.
Une exposition à Cavaillon présente une soixantaine de photographies de la carrière de Jean-Claude Francolon, la moitié de ces images sont consacrés au Vietnam. A voir la galerie Heckel du 8 mai au 30 septembre 2025.