
En 1974 et 1975, alors que j’ai quitté l’agence de presse Fotolib, je suis devenu une petite année chroniqueur à la rubrique « Radio-Télévision » de Libération, jusqu’au jour ou une assemblée générale décida un soir de supprimer la page. C’était l’époque ou il fallait « casser sa télé » ! C’était pourtant l’époque ou à la télévision française des magazines comme « Satellite » ou « Panorama » donnait à voir le monde avec un tout petit peu plus de liberté.