LES GENS

Richard Walter, « sans étiquette »

Richard Walter, né en 1956, vit en France.

Après quelques années d’errance en Europe sur les traces de Kérouac, il arrive à’agence Rapho en 1981. Il y découvre la photo humaniste à travers les photos de Doisneau, Ronis, Boubat, Charbonnier, Sabine Weiss et tant d’autres, connus ou moins connus.

Il devient picture editor à Terre Sauvage et de nouveaux voyages (business trip) lui font découvrir le Japon et les USA. Un bref passage par l’agence VU puis il devient rédacteur en chef d’un magazine consacré à la voie d’eau Fluvial. où son plus grand plaisir consiste, à la fin du bouclage, à rédiger un éditorial au vitriol.

 » le plus important c’est le cadrage à la prise de vue ». Robert Doisneau

Plus tard, Fluvial rompant ses amarres parisiennes pour s’échouer dans la banlieue de Montpellier, il reprend sa liberté et après de très nombreux remplacements, il devient vacataire au Musée du Louvre, agent d’accueil au Musée de Montmartre, puis retraité.

Il photographie avec plus ou moins de bonheur depuis une trentaine d’années depuis que Doisneau lui à offert son premier boitier en même temps qu’un unique conseil  » le plus important c’est le cadrage à la prise de vue ».

Le Louvre, le Japon, et le 18ème arrondissement ont été ses sujets de prédilection. Il ne se définit ni comme photographe, ni comme écrivain car il déteste les étiquettes.

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