
Yan Morvan est décédé : un choc, un de plus. Yan était un personnage qui ne laissait pas indifférent, il ne faisait pas dans la demie-mesure. On l’aimait ou pas, il t’aimait ou pas… Il était quelqu’un d’à part. Voir la suite

Yan Morvan est décédé : un choc, un de plus. Yan était un personnage qui ne laissait pas indifférent, il ne faisait pas dans la demie-mesure. On l’aimait ou pas, il t’aimait ou pas… Il était quelqu’un d’à part. Voir la suite

J’ai rencontré Yan Morvan, pour la première fois, à Fotolib, cet incubateur gauchiste de photographes en devenir… Beaucoup d’entre nous, d’ailleurs, ont fait autre chose, d’autres formes de journalisme, de l’enseignement, de la réalisation télévisuelle, de l’écriture etc. Pas lui, il voulait être photographe. Voir la suite

Pascal Kober, photographe, journaliste, renifleur du temps, membre de la rédaction de L’Œil de l’info, a rencontré Yan, il y a plus de trente ans pour le magazine Grands Reportages. Il republie ici deux extraits de cet entretien. Voir la suite

En mai 2013 j’ai accompagné Yan pour qu’il puisse photographier les champs de bataille de Libye (Misrata, Bir Hakeim, Tobrouk, Tripoli…) dans le cadre de son grand projet de livre. Voir la suite

Il a vécu mille vies. Dans cette vidéo, il dévoile avec truculence quelques unes de ses multiples aventures: la guerre au Liban où il passera quatre ans, le jour où il a failli être fusillé en Libye, la guerre en Ukraine du côté russe et séparatistes, le danger des mines sur les terrains de guerre, quand il a risqué sa peau avec les talibans en Afghanistan parce qu’il ronflait en dormant (!) et comment un tueur en série a été son assistant… Voir la suite

La toute nouvelle galerie de l’AFP présente « Paris 1944, une semaine en août » qui commémore le 80e anniversaire de la libération de Paris. Y sont exposées des images réalisées par des photographes professionnels qui travaillaient pour l’agence ainsi que celles d’amateurs parisiens descendus dans la rue pour documenter les événements. Voir la suite


Ce vendredi 6 septembre 2024, à neuf heures du matin au Grand Café de la Poste de Perpignan, Gael Turine ne sait pas encore qu’il n’est pas l’heureux lauréat du Visa d’or Magazine pour lequel il est l’un des nominés avec Valerio Bispuri, Véronique de Viguerie et Katie Orlinsky qui l’emportera le soir même. Il était en compétition pour son reportage sur « Les ravages de la tranq » publié par Le Figaro Magazine et exposés à la Chapelle du Tiers-Ordre.
