Bizness

Vidéosurveillance algorithmique
Le doigt dans l’engrenage sécuritaire ?

© Adobe Stock

Promis, juré, craché, l’expérience de vidéosurveillance algorithmique, qui avait été déployée à l’occasion des Jeux Olympiques en France, devait s’arrêter le 31 mars 2025. Mais, sans réelle surprise et malgré des résultats très mitigés, les parlementaires ont validé un rapport du Sénat qui proposait une prolongation de deux ans supplémentaires faisant peser une réelle menace sur les libertés individuelles.

Mise à jour le 25/04/2025: le Conseil constitutionnel a censuré certaines dispositions de la loi sur la sécurité dans les transports. Parmi elles, celle, controversée, visant à prolonger l’expérimentation de la vidéosurveillance algorithmique (VSA) dans l’espace public et celle visant à «permettre le recours à la contrainte par des agents privés».

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Editorial

Israel vs Palestine
Les meurtres de journalistes se poursuivent
en toute impunité

Des journalistes palestiniens brandissent des pancartes lors d’un rassemblement de protestation contre le meurtre de leurs collègues reporters Hussam Shabat et Muhammad Mansour lors de frappes israéliennes la veille, à l’hôpital arabe al-Ahli, également connu sous le nom d’hôpital baptiste, dans la ville de Gaza.
Photo Omar Ashtawy / EPA images / Sipa press

La guerre d’Israël à Gaza, en Cisjordanie et au Liban aura fait plus de deux cent morts depuis l’attaque du 7 octobre par le Hamas.  Le 24 mars 2025, Israël a ciblé les correspondants de deux médias à forte audience l’Asahi Shimbun et Al-Jazeera.

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Entretien

Jonathan Alpeyrie
L’ex-otage des djihadistes syriens
travaille aujourd’hui sur le narcotrafic

Le 20 juin 2020 – Tijuana, Basse-Californie, Mexique. À l’ère du Covid-19, les Mexicains pauvres doivent faire face à une autre couche de mort qui s’est combinée à un pays déjà violent où des milliers de personnes meurent à cause de la guerre actuelle contre la drogue. Chaque jour, des dizaines de funérailles ont lieu au sein du territoire du cartel, dont de nombreux décès dus au Covid-19. (Photo de Jonathan Alpeyrie

En 2013, au lendemain de sa libération, j’ai rencontré Jonathan Alpeyrie qui sortait d’un calvaire de 81 jours de détention par les djihadistes en Syrie. Une interview qui m’a marquée. Et puis, nous nous sommes perdus de vue. Il y a quelques semaines, Jonathan m’a rappelé. Il va séjourner en Europe et va publier un livre sur ses reportages sur les narcotrafiquants. Une bonne raison de se reparler.

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